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mes 500 000e visiteurs
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Préface du Webmestre
Samedi 11 décembre 2004 à 22h42 GMT...
Mes 500 000e visiteurs sont arrivés !
Tiercé Gagnant
Contrairement aux habitudes prises, je vais
dédier ces pages à trois personnes et non
une seule :
Les deux 500.000e, ex-aequo : Bernard et
Marie-Anne, formateurs de formateurs, amis et ex-collègues
du Vietnam : il fut impossible de les départager.
Ils sont arrivés à une ou deux secondes d'intervalle
et ont chacun une copie d'écran avec le compteur
à 500.000 (techniquement, cela s'explique très
bien, si-si !)
Le 500.001e ne sest pas moins battu (50 connexions
dans la soirée) mais a glissé en fin de parcours
(allant voir si son fils adopté au Vietnam dormait
bien, il est revenu quelques secondes trop tard) : Nicolas,
un instit belge !
Comme ces trois belges ont pas mal de choses en commun
(l'enseignement, le Vietnam...) mais aussi des parcours
très différents, j'ai trouvé intéressant
de les réunir ici
Entrevue réalisée par courriel
Bonjour vous deux ! Avant que vous ne
soyez mes 500.000e visiteurs, je vous connaissais déjà
depuis longtemps et vous êtes des habitués
du site. Voulez-vous nous en dire un peu plus sur vos identités
? Qui sont Marie-Anne et Bernard ? Vous rappelez-vous notre
première rencontre ?
Marie-Anne :
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Bernard :
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Vive la vie, ses difficultés, ses déceptions,
ses entraves. Vive cette chienne de vie qui vous égratigne
ou vous blesse
Mais qui nous grandit et nous
enseigne à être soi-même.
Enseignante, divorcée, un enfant
Ce
dernier avait dix ans quand je me suis décidée,
après une trop longue période de chômage,
à tenter ma chance. Amoureuse du monde, mais
manquant de moyens, j'ai décidé d'embarquer
mon fils dans mes rêves d'aventures. L'APEFE
m'a donné l'opportunité de partir comme
prof de français langue seconde en Louisiane.
De retour en Belgique après 4 ans, il m'a fallu
deux semaines pour comprendre que je n'y avais plus
ma place.
Je suis repartie avec l'APEFE vers le Vietnam comme
Conseillère pédagogique. Quatre ans
encore, puis une année comme Directrice des
Ressources humaines dans une clinique de Hanoi. Nouveau
départ pour la Louisiane ensuite. Mais les
pieds me démangent et je me retrouve guide
dans une pourvoirie du grand nord québécois
(Pourvoirie
Mirage) où je finis par accepter un poste
de Directrice des Ressources humaines et responsable
du Programme Qualité
avant d'en épouser
le directeur en février dernier.
J'y ai également ouvert une boutique (Taïga-Art)
dont je suis la directrice. Mes bagages sont-ils posés
? Je suppose, puisque nous construisons actuellement
notre "cabane au Canada". Mais j'ai peine
à y croire. Pour le "fun", j'ai calculé
combien de fois j'ai déménagé
dans ma vie. A 49 ans, j'arrive à un total
de 21 fois plus 7 fois avec mes parents. Instable
? Non. Juste une faculté d'adaptation impressionnante.
Mes souvenirs de notre première rencontre
restent très clairs : nous étions en
réunion pédagogique (était-ce
à Nha Trang ou à Ho-Chi-Minh ville ?*)
et avons vu entrer un grand blond tout souriant, pas
du tout dérangé par le décalage
horaire et aussi à son aise que si nous nous
connaissions tous depuis 10 ans. Tu as très
vite fait partie de l'équipe, Pierre, et quand
tu as quitté Can Tho, nous avons partagé
maison et bureau à Hanoi
avec coups de
gueule et rires. Tu m'as écouté avec
patience lorsque j'ai traversé des moments
difficiles, tu m'as transmis certaines de tes connaissances
informatiques qui me sont encore utiles aujourd'hui
et réparé mes nombreuses "gaffes".
Je suis heureuse de pouvoir te dire aujourd'hui que
j'ai une vraie amie et un vrai ami,
mon ami Pierre.
* c'était à la concertation nationale
des conseillers pédagogiques, à Hué,
le 16 octobre 1997... Je n'ai bien sûr pas oublié
cette arrivée
mouvementée
et les Assises, où tu t'occupais des VIP !
- Pierre.
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Qui je suis ? Ou qui je crois être, vu qu'
"On ne peut pas se regarder passer par la fenêtre."
(dicton africain) ?
Je m'appelle Bernard Uhoda. D'ascendance croate et
wallo-flamande, je suis né à Liège,
en 1961. J'ai grandi à Seraing et j'y habite.
Ayant vécu et travaillé sur trois continents,
je me sens tout à la fois sérésien,
liégeois, wallon, belge, européen et
citoyen du monde.
Je suis professeur de français et formateur
d'enseignants. J'ai d'abord travaillé cinq
ans en Belgique, dix ans au Gabon et cinq ans au Vietnam.
De retour en Belgique depuis 2004, je contribue actuellement
à la formation initiale d'enseignants.
Clara et moi sommes les parents comblés de
Jérôme (°1994), Rodrigue (°1997)
et David (°2005). Je consacre mes loisirs à
ma petite famille, à mon travail et, quand
c'est possible, aux amis croisés ici ou là
dans nos pérégrinations, aux échecs,
à la lecture et à l'écriture.
J'ai rencontré Pierre à Nha Trang,
lors d'une concertation professionnelle (Pierre travaillait
alors à Can Tho et moi, à Ho Chi Minh-Ville).
J'ai apprécié tout de suite cet expert
en formation, informatique et bons restaus, ouvert
et en recherche permanente. À la même
concertation, j'ai également rencontré
Marie-Anne, dont je découvrais la belle énergie
et l'énergique beauté.
Le monde est petit et les amitiés sont grandes...
Alors, forcément, on se croise de temps en
temps.
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Allez, on veut vous voir
: une photo de chacun tout seul, au choix !
Marie-Anne :
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Bernard :
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(Les photos et la suite de l'interview suivront,
Marie-Anne étant indisponible actuellement)
Vous pouvez déjà voir Marie-Anne
sur ma première
page "Hanoï" (première et
troisième photo) notamment.
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Vous avez donc tous deux vécu et travaillé
au Vietnam et c'est là que nous avons tous fait vraiment
connaissance. Que retenez-vous de cette expérience
vietnamienne ?
Marie-Anne :
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Bernard :
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Je garderai toujours d'excellents souvenirs du Vietnam,
liés à l'attrait et à la majesté
de son décor, au sourire et à l'ardeur
de son peuple, à la véritable et profonde
richesse humaine de sa culture.
Mes séjours en Afrique centrale et en Asie
du sud-est m'ont permis d'approcher différentes
cultures, dont je parle peu de crainte d'être
superficiel mais qui me forment de l'intérieur.
Je me sens imprégné à la fois
de la diversité des usages et de la permanence
de l'humain ("l'homme nu", disait Simenon,
déshabillé de sa culture).
Ces voyages m'ont été un cadre où
découvrir le jeu à la fois simple et
complexe des rapports humains. C'est sans doute ce
regard pluriel que j'y ai recherché en même
temps qu'une action concrète en coopération.
J'ai fui la routine et un rôle professionnel
"prêt-à-endosser". J'ai quêté
aussi la distance avec laquelle un tant soit peu "se
regarder passer par la fenêtre". Avec l'exploration
de la pensée et de la poésie, je crois
que j'ai trouvé dans ces rencontres le recul
dont j'avais besoin pour mieux voir qui j'étais
et comment agir : on voyage en surface, on bouge en
profondeur.
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Une photo de chacun au Vietnam :
Et après le Vietnam ? Quand et comment cela s'est-il
passé ?
Marie-Anne :
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Bernard :
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Le retour a été agréable même
si l'on garde d'excellents souvenirs d'autres coins
du monde. Cette fois, nous avons souhaité rester
en Belgique, pour des raisons familiales et professionnelles.
J'ai retrouvé un emploi après six mois
et j'en suis ravi. Il me permet de réinvestir
mon expérience en formation d'enseignants,
tout en continuant à la développer.
Bien sûr, nouvel emploi, nouvelles activités,
nouvelle acclimatation au froid, ainsi que nouveau
logement demandent une période de rodage. Nous
essayons de la vivre le plus sereinement possible.
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Une photo actuelle de chacun :
Vous avez un autre point en commun : vous avez beaucoup
bougé en famille, raison pour laquelle beaucoup de
gens renoncent à s'expatrier. Que pouvez-vous nous
en dire compte tenu de vos expériences ? Qu'en disent
vos enfants ?
Marie-Anne :
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Bernard :
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Aucun problème de ce côté.
Parti seul au Gabon, j'y ai rencontré Clara
après trois ans. Nous étions donc chez
elle, à deux pas de ma belle-famille, très
accueillante. Jérôme avait trois ans
quand nous avons quitté le Gabon et Rodrigue
naissait un mois plus tard.
Après une année en Belgique, ce fut
un plaisir pour tous de retrouver un climat tropical
au Vietnam. Bien entendu, avec alors deux jeunes enfants,
nous avons demandé et obtenu un poste dans
une grande ville. Les enfants sont heureux d'avoir
passé cinq ans au Vietnam, avec des amis nombreux
et divers, et d'avoir visité quelques pays
voisins, en bus, bateau, pirogue, avion et même
à dos d'éléphant.
Nous sommes contents de cette ouverture qu'ils ont
eue, épatés aussi de la manière
rieuse et volontaire dont ils l'ont vécue,
et nous comptons bien continuer à leur ouvrir
des fenêtres, ainsi quà leur frère
né depuis, David.
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Une photo en famille hors Belgique :
S'il fallait nommer les 3 avantages et les 3 inconvénients
de vos expatriations ?
Marie-Anne :
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Bernard :
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Trois inconvénients :
- le coût des soins de santé et des
scolarités privées (on part quand même,
mais il faut le savoir).
- l'accès restreint à une information
et une culture francophones (malgré la richesse
incontestable de TV5 et des initiatives locales) ;
- l'éloignement des familles, en particulier
pour les grands-parents et petits-enfants (nous serons
toujours éloignés soit de la famille
gabonaise, soit de la famille belge, là nous
n'avions ni l'une ni l'autre).
Trois avantages :
- un plus dans la carrière professionnelle
(les missions sont plus variées qu'en Belgique
et les responsabilités, plus grandes) ;
- la stimulation du dépaysement (contre le
danger de la routine, la sécurité de
l'éveil, dans la curiosité de mener
une vie "différente") ;
- la richesse des rencontres (le plaisir de découvrir
d'autres gens et d'autres paysages, l'ouverture à
d'autres façons de penser et de créer).
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Votre photo préférée
(sujet libre) :
Quels seraient actuellement vos 5 sites Web favoris
?
Marie-Anne :
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Bernard :
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Désolé, je n'ai pas d'adresses miracles
à renseigner, sinon celle-ci (merci, Pierre
!)
Pour l'information, je me promène sur www.yahoo.fr,
www.voila.fr, www.lesoir.be,
www.lalibre.be, www.lemonde.fr
et www.monde-diplomatique.fr.
Pour le travail, je privilégie les ouvrages
ou articles et je jette un il sur différents
sites dédiés à l'éducation
(par exemple, www.liguedesfamilles.be)
et à l'enseignement du français (par
exemple, www.fdlm.org).
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Et de quoi conclure cette interview ?
(pour l'instant du moins puisque cette page est la vôtre
!)
Marie-Anne :
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Bernard :
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Une double conviction : la raison, la vraie raison,
est celle qui se méfie d'elle-même et
constitue néanmoins le langage harmonisé
des affaires humaines ; on a aussi autant besoin de
poésie que de raison.
Même si les langues et les mythes varient,
poésie et raison nourrissent une culture commune,
dont témoignent par exemple ces quelques proverbes
et citations sur des valeurs partagées : "Ce
que le vieillard voit assis, l'adolescent ne le voit
pas debout." (proverbe africain) ; "Les
dieux ne répondent pas aux vux indolents."
(Avianus, poète latin) ; "Le fruit mûr
tombe tout seul, mais il ne tombe pas dans la bouche."
(proverbe vietnamien) ; "Très loin à
l'est, c'est l'ouest." (proverbe chinois) ; "Aucune
certitude ne vaut un cheveu de femme." (Albert
Camus, écrivain français). Des phrases
? Oui, des phrases qui, comme au jeu de fléchettes,
cernent "l'homme nu" au cur de la
cible.
Bien entendu, la diversité culturelle (géographique,
historique ou sociale) fait vivre ce fonds commun,
lui donne chair, l'ancre dans la personnalité
d'une communauté. Voltaire a rendu un hommage
cocasse à l'ouverture d'esprit ; il a écrit
en substance : "Demandez à un crapaud
ce qu'est le Beau, le grand Beau, et il vous répondra
que c'est sa crapaude." Formidable richesse des
points de vue, source de rencontres et de créativité.
Quant à ma propre devise ? Elle pourrait être
"Ça dépend
", mais, là
encore, ça dépend
Plutôt
qu'une devise, n'est-il pas mieux d'avoir une image
?
Au cur d'un marché vietnamien se déhanchait
une vieille ombre. Je m'approchai. Sur les deux plateaux
de sa palanche, la maraîchère portait
la poésie et la raison. Je m'approchai davantage.
Je reconnus ma langue.
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Et le 500.001e ? C'est Nicolas !
Bonjour Nicolas ! Contrairement aux deux
zouaves précédents, je ne te connais pas vraiment...
Bien que je sache que tu es un assidu du site et du téléchargement
de docs pédagogiques .
Ma première question sera donc bien évidemment
"Qui est Nicolas et comment est-il arrivé sur
mon zouli site ?"
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Qui suis-je?
Je m'appelle Nicolas Joachim, j'ai 32 ans, je suis
belge. Je suis marié à Laurence et suis
l'heureux papa d'Aloïs, petit bout'chou de 3
ans 1/2 adopté au Vietnam dans la province
de Quang Ninh (baie d'Along) en mars 2003.
J'exerce la passionnante profession d'instituteur
au sein de l'école communale de Lillois (Braine
l'Alleud) dans le brabant Wallon. J'habite un charmant
petit village rural: Ittre.
En dehors de ces deux rôles (instit et papa)
qui me prennent beaucoup de temps, je consacre mes
loisirs aux balades dans la nature (en souvenir des
mes 7 années de chef scout à la 8ème
BW-RP (mon totem : Ourson!)), à la lecture
(pas assez...), à l'internet (j'ai créé
le site web de mon école... ), au plaisir de
la table ( toujours prêt!), et me suis pris
de passion pour le Vietnam (vous aurez compris pourquoi!...)
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Comment ai je découvert le site chez pierre.net?
Premièrement, mon vieux rêve de jeunesse était
de d'enseigner à l'étranger et notamment au
Vietnam (mais l'APEFE n'envoie plus de formateur dans ce
pays
snif
snif). En recherchant des infos sur
le sujet, je suis donc assez facilement "tombé"
sur ce superbe site. Petite anecdote par rapport à
Goma, en 1996, j'ai failli postuler pour l'école
belge qui recherchait un instituteur mais la guerre civile
au Congo me refroidit au dernier moment. Deuxièmement,
dès que nous avons entrepris des démarches
pour adopter un enfant au Vietnam, j'ai recherché
tout ce qui concernait ce pays
et là rebelote
.direction
chez Pierre. Troisièmement, je recherchais de la
doc pédagogique pour apprendre le français
à des jeunes brésiliens de mon village...je
suis retombé chez Pierre. Encore merci pour ces précieux
et utiles documents. Depuis ce site figure en bonne place
dans mes sites favoris et je le revisite régulièrement
avec beaucoup de plaisir.
Tu as donc bien un premier point en commun avec
nous par ton métier d'enseignant : que nous
en dirais-tu ?
Pour moi enseigner est quelque chose d'universel
Tous
les enfants du monde se ressemblent
Ce qui change
c'est le cadre socio-économique, la culture,
les moyens didactiques et pédagogiques mis
à disposition et l'importance que l'on donne
à l'éducation.
Moi ce qui m'intéresse le plus dans ce métier,
ce n'est pas vraiment l'enseignement tel quel (même
si c'est très important !) mais surtout le
contact humain, les rencontres avec le monde fabuleux
des enfants car ils ont aussi beaucoup de choses à
nous apprendre et à nous dire.
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Et un deuxième point en commun
avec nous, le Vietnam : Quid ?
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Le Viet-Nam : une expérience de vie, riche,
courte mais très intense. Ma femme et moi-même,
nous nous y sommes rendus afin d'adopter notre fils
au mois de mars 2003. Après avoir été
chercher Aloïs (voir
son site) à la baie d'Along (province de
Quang Ninh), nous avons séjourné à
Hanoï pendant 2 semaines (à deux pas du
lac d'Hoa Kiem) afin de remplir toutes les formalités
administratives (et ce ne fut pas de tout repos ;-)).
Nous avons donc eu le loisir de découvrir
cette superbe ville et ses nombreux lacs (
notre
préféré le Parc Lénine
!) et de goûter à l'ambiance unique de
la vie vietnamienne. Pour l'anecdote, Aloïs est,
à ce jour, le dernier enfant vietnamien adopté
en Belgique. Le Vietnam ayant fermé ses portes
à l'adoption avec la Belgique
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Tu es également fort intéressé
par l'expatriation mais tu n'es finalement pas (encore)
parti.
Comment l'envisage(ais)-tu, pourquoi, comment...
?
A l'heure actuelle, je pense que je ne partirai plus...
Le temps passant, on fait sa vie ici et on s'y investi.
On construit sa vie, on se marie, on fait des enfants
(Bonne nouvelle, nous attendons un petit frère
ou une petite sur pour le début du mois
de mai), on achète une maison,...
Toutes ces choses positives font qu'il devient de
plus en plus difficile et compliqué de partir.
A mon avis, comme c'est le cas de nombreux expatriés
de l'enseignement, on y tombe dedans dès le
départ de sa vie professionnelle et on y reste
Mais qui sait un jour peut-être mon tour viendra...
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D'un point de vue nettement plus virtuel,
quels sont les cinq sites Web que tu nous inviterais à
visiter ?
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Alors en vrac.... www.monlegionnaire.com
...un site de jeu de connaissance générale
gratuit et bien fait (càd notamment sans pub
qui s'intercalent)
Attention on s'y prend vite
au jeu...
www.enseignement.be
...le site portail de l'enseignement en Belgique,
on y trouve vraiment beaucoup d'infos (au point de
vue administratif, pédagogique,... et beaucoup
de liens intéressants)
www.mala-india.org
Site de Mala: une association très sympa de
Waterloo qui aide des enfants d'Inde sous forme de
parrainages et de création de villages d'enfants
en Inde. A voir vraiment!!! Je vous conseille aussi
de rendre une petite visite dans le magasin + salle
d'expo à Waterloo. Coup de cur assuré
!
www.ifrance.com/adoption-internationale/
site perso sur l'adoption internationale réalisé
par une adoptante française qui a regroupé
des infos sur tous les pays adoptants+ lien vers des
sites persos racontant l'adoption d'un€ enfant)
www.routes-du-monde.net
il y en a quelques uns des sites comme cela qui nous
font voyager au bout du monde et nous font rêver
à travers leurs récits et leurs photos.
Il s'agit d'un carnet de route racontant les étapes
de jeunes français sur la route de la soie
en
attendant d'autres contrées comme l'Indochine...
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Et pour conclure, tu dirais...
Que je te remercie sincèrement de m'avoir permis
de faire partie de ton site (si...si !), continue de nous
faire rêver... On attend tes prochaines aventures
!!
Et qui sait, je serai peut être le 600.001 visiteurs
;-) ???
(PS de Pierre : oui, mais la prochaine page-cadeau sera
pour le millionième, le compteur tourne si vite maintenant... ;-)
Page créée le 14 décembre 2004 -
Mise à jour le 10 février 2006
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