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All my cameras !



(This page will be translated later)

J'avais présenté certains de mes appareils les plus récents, des numériques, sur la page "mes ordinateurs" mais avec le progrès, ces petits joujoux n'ont plus tellement leur place dans la rubrique "informatique" et méritent leur propre page.

J'en profite d'ailleurs pour vous présenter rapidement leurs grands frères argentiques !


1. Mon premier appareil photo :

Kodak Brownie 127

Cette photo provient du
musée Kodak de Jimmy Ellison

Reçu en cadeau (d'occasion car il date des années '50) vers 1975 et gardé (mais où l'ai-je mis ?)

Objectif : grand-angle, focale fixe.

Flash : non.

Réglages : aucun.

Film : format 127 (40 x 40mm).

Alimentation : manuelle :-)

Je n'ai pris aucune photo avec cet appareil : j'étais un gamin insouciant, sans argent pour acheter des films, et le boîtier était cassé (un trou à l'arrière...)

Qualités selon moi : Instructif au démontage... Je sais, c'est honteux ;-)

Défauts selon moi : ?



2. Le premier appareil que j'ai utilisé :

Kodak Instamatic 200

Cette photo provient du
musée Kodak de Jimmy Ellison

Appareil de ma mère (dans les années '70), qu'elle possède peut-être encore.

Objectif : grand angle, focale fixe.

Flash : des petits cubes flash à 4 faces ; chaque éclair brulait une ampoule et le cube pivotait alors d'un 1/4 de tour sur la roue crantée.

Réglages : "soleil" ou "nuages", si je me souviens bien.

Film : format 110, en petites cassettes.

Alimentation : manuelle :-)

Au début, c'était ma mère qui prenait les photos, surtout de nous en vacances, à la mer (côte belge) par exemple. J'ai ensuite appris à m'en servir (quel exploit ;-) pour le même usage, ou presque...

Qualités selon moi : un bon petit appareil pas cher, que l'on promène dans sa poche pour prendre des souvenirs de vacances. Ces photos sont toujours dans nos albums de famille et constituent de bons souvenirs !

Défauts selon moi : il en a une multitude, bien sûr... Mais comment lui reprocher quoi que ce soit ? Cet appareil était l'équivalent de la VW Coccinelle dans sa branche, l'appareil photo pour tous...



3. Le deuxième appareil que j'ai utilisé :

Canon Demi 17

Cette photo provient du
musée officiel Canon

Appareil de ma belle-mère, qu'elle m'a prêté quand j'étais adolescent et que je commençais à m'intéresser à la photo.

Objectif : grand angle 30mm (f1.7)

Flash : externe (mais je n'en avais pas).

Réglages : plusieurs, avec l'aide d'une cellule de mesure (indication par une aiguille dans le viseur).

Film : format 35mm "demi", càd 18 x 36mm.

Alimentation : manuelle :-)

J'ai pris quelques centaines de photos avec cet appareil génial ! Pensez donc, pour un ado, au début des années 80, un appareil qui utilise deux fois moins de pellicule, c'est un trésor ! Le truc était simple : cet appareil n'exposait qu'une moitié de chaque image à la fois, donc on pouvait faire 48 photos avec un film de 24. Canon a abandonné ce système quand les pellicules se sont démocratisées.

Qualités selon moi : un bon appareil économique, avec quelques réglages manuels, et une cellule de mesure d'exposition intégrée.

Défauts selon moi : le réglage de distance, limité à trois positions, et la moindre qualité des photos à cause du mode "demi" (mais à l'époque je m'en fichais pas mal :-)



4. J'achète mon premier appareil "sérieux" :

Pentax Super A

Acheté d'occasion +/- 320 euros en 1984 et gardé précieusement.

Objectif : 50mm (f1.4) ; complété plus tard d'un zoom Sigma 75-210mm (f3.5).

Flash : externe, j'avais acheté un petit flash manuel, NG28.

Réglages : innombrables, avec l'aide d'une cellule de mesure très précise, des modes auto et semi-auto, mise au point manuelle.

Film : format 35mm.

Alimentation : 2 piles bouton pour la mesure de lumière et quelques fonctions (appareil non motorisé).

J'ai pris quelques milliers de photos avec cet appareil, pour lequel j'avais longuement économisé. Acheté d'occasion à un photographe professionnel (Studio Francine à Bruxelles), j'ai ensuite eu la surprise de découvrir qu'il s'agissait de l'appareil numéro 1 d'une série limitée à 200 exemplaires ! Autant vous dire que je l'ai précieusement conservé :-)

C'est avec cet appareil que j'ai vraiment appris la photo.

Qualités selon moi : une qualité d'image époustouflante, une solidité incroyable, une excellente assistance aux réglages manuels.

Défauts selon moi : pas d'autofocus, et c'est la seule raison pour laquelle j'ai acheté l'appareil suivant, prenant souvent des photos de gens en mouvement, de motos, etc.



5. Mon deuxième appareil argentique "sérieux" :

Pentax Z1

Acheté neuf +/- 750 euros en 1987, je l'emploie encore.

Objectif : zoom AF 28-80mm (f3.5) ainsi que les objectifs de mon Pentax précédent (mais ceux-là sans autofocus).

Flash : intégré (très bon) et externe, j'avais acheté un bon flash Pentax 330 ftz automatique avec mesure TTL.

Réglages : nombreux modes programmes et manuels avec assistance ou non et un très bon autofocus, zoom motorisé ou manuel.

Film : format 35mm.

Alimentation : une pile CR5.

Encore quelques milliers de photos avec cet appareil-ci, pour lequel j'avais également longuement économisé. Mon premier appareil neuf, qui m'a suivi partout (Congo, Louisiane, Canada, Italie, Vietnam, Thaïlande, Laos, Cambodge...) et celui qui, à part le Super A, me donne encore aujourd'hui les meilleures photos.

Qualités selon moi : qualité d'image à peine inférieure au Super A, autofocus très rapide et précis, mode automatique performant, quantité incroyable de réglages disponibles, très personnalisable, motorisation du zoom très intuitive et très précise (bague à sensibilité progressive) et la meilleure prise en main que je connaisse...

Défauts selon moi : le poids et l'encombrement, mais surtout la fragilité des "accessoires" : sur le mien, un bouton s'est détaché et le flash intégré ne sort plus complètement (ressort cassé).



6. Mon premier appareil numérique ("digital") :

Epson Photo PC 600

Acheté neuf +/- 950 euros en 1998, revendu en 2000.

Objectif : grand-angle, autofocus, pas de zoom.

Flash : intégré.

Réglages : peu.

Film : CCD 1 million de pixels ; mémoire interne 4Mo et cartes Compact Flash (j'ai acheté une carte CF20Mo en 1998 pour environ 100 euros).

Alimentation : 4 piles AA.

Cet appareil m'a bien servi, malgré sa faiblesse par rapport aux APN (Appareils Photo Numériques) modernes. J'ai pris un bon millier de photos avec lui et elles ne sont pas trop mauvaises. Mais avec ce "pionnier" de la photo numérique, je ne me risquais pas trop loin : dès que j'avais de "bonnes" photos à prendre, je sortais mon bon vieux réflex.

Qualités selon moi : le meilleur à son époque... Et une qualité que l'on ne trouve plus sur les APN actuels : une mémoire intégrée indépendante, bien pratique (surtout à l'époque, où les cartes coûtaient si cher).

Défauts selon moi : avant tout sa consommation : avec un jeu de piles, sans utiliser l'écran LCD, j'arrivais à prendre 8 ou 9 photos. Avec l'écran LCD allumé ? Deux ou trois... Avec des piles rechargeables ? La moitié... Les couleurs, le contraste, le piqué : moins bons qu'avec un appareil jetable ;-) Et qu'est-ce qu'il était lent pour se mettre en route, enregistrer les photos, les transférer au PC (connexion "série")... Mais bon, c'étaient les débuts !



7. Mon deuxième appareil numérique :

Nikon CoolPix 990

Acheté neuf +/- 1500 euros en 2000, revendu fin 2002.

Objectif : zoom 3X, autofocus.

Flash : intégré.

Réglages : très nombreux.

Film : CCD 3.3 millions de pixels ; cartes Compact Flash (j'ai acheté une carte CF64Mo en 2000 pour environ 250 euros).

Alimentation : 4 piles AA.

C'est avec cet appareil que j'ai commencé à laisser mon réflex de plus en plus souvent à la maison : avec 3.3 millions de pixels, on commence à obtenir des résultats comparable à l'argentique, et au moment où je l'ai revendu il avait à peu près 3000 photos au compteur.

Malheureusement, je n'ai jamais eu le courage ni pris le temps de bien me familiariser avec toutes ses possibilités ; je l'utilisais donc en "auto" ou "semi-auto" et devais donc presque toujours retoucher les photos sur l'ordinateur pour obtenir des résultats corrects. Il faut dire que le système de "menus" Nikon est particulièrement rébarbatif...

N'empêche, à nouveau, c'était la crème de la crème...à l'époque...

Qualités selon moi : Excellent en macro et à l'extérieur. Objectif orientable très pratique et une meilleure autonomie que le précédent (+/- 100 photos sans l'écran ACL allumé), bonne prise en main, connexion USB.

Défauts selon moi : nul à l'intérieur, notamment à cause de son flash (trop près de l'objectif et trop faible) et de ses mauvaises capacités en réglage de balance des blancs. Pas de griffe porte-flash, il faut acheter un kit de montage et un flash Nikon, exclusivement, au prix fort. D'ailleurs, ils me semblent vraiment radins, chez Nikon : pas de housse, même pas une sangle ! Très ennuyant aussi : un bogue du logiciel interne (parfois l'appareil ne fonctionne plus du tout, il faut l'éteindre puis le rallumer, ou alors il vous montre la photo...mais ne l'enregistre pas sur la carte !)



8. Mon troisième appareil numérique :

Canon G3

Acheté neuf +/- 1100 euros fin 2002, revendu en mars 2005.

Objectif : zoom 4X (35-140mm, f2.0), autofocus.

Flash : intégré et externe (j'ai acheté un Canon 420EX)

Réglages : différents programmes, modes auto et manuels...

Film : CCD 4 millions de pixels ; cartes Compact Flash (j'ai acheté une carte CF256Mo en fin 2002 pour environ 140 euros).

Alimentation : batterie BP511 ou 512.

Cette fois je suis bien lancé dans le numérique. J'avais pensé acheter le Canon G2 l'été passé vu sa réputation, mais m'étais retenu en attendant son successeur. Quand celui-ci est sorti fin 2002, j'ai été un peu déçu : je m'attendais comme beaucoup à un capteur CCD d'au moins 5 millions de pixels et à plus d'évolutions, mais après lecture de nombreux test et comparatifs et quelques essais en magasin, j'ai sorti ma carte de crédit.

Pas le temps d'attendre, le G3 est en rupture de stock presque partout et je ne suis que pour trois semaines en Belgique, je fonce. Et ne le regrette pas jusqu'à présent. Pas même une larme pour mon Coolpix 990 qui m'a pourtant bien servi pendant 2 ans et demi !

Ici je n'ai pas fait le même erreur : j'ai bien étudié le manuel tout en shootant mes premières photos. Il faut bien reconnaître qu'avec cet APN, c'est tellement plus facile, rapide, amusant et intuitif ! Et comme l'autonomie permet de jouer sans compter...

Qualités selon moi : d'abord la qualité d'image, tant à l'intérieur qu'à l'extérieur, avec ou sans flash (NB : le flash intégré est très bon mais pour les meilleurs résultats il faut avoir un flash externe). Rapide, il est prêt en un rien de temps, l'autofocus est très véloce (même dans le noir le plus complet, grâce au faisceau d'assistance) et le temps de latence est quasi nul (il est même possible de prendre en rafale jusqu'à 2.5 image/seconde !) Son écran orientable est très pratique et tous les réglages principaux sont accessibles sans devoir passer par des menus à rallonge. Les piles, c'est fini : la batterie du G3 lui donne une autonomie d'environ 400 photos avec l'écran allumé et près de 1000 si on n'utilise que le viseur optique ! Et si la photo en vaut la peine, il est possible de décider de l'enregistrer en RAW plutôt qu'en JPEG après l'avoir prise, hé oui, et cet enregistrement se fait en une paire de secondes à peine ! L'appareil semble costaud et me tombe parfaitement dans les mains, contrairement à d'autres APN actuels, souvent trop petits. On mentionnera aussi la petite télécommande fournie, le filtre à densité neutre intégré, l'orientation automatique des clichés grâce au détecteur de position de l'appareil (il ne lui manque qu'un GPS ;-), etc.

Défauts selon moi : impardonnable de la part du fabricant : en grand-angle, le bout de l'objectif masque une petite partie de la vue par le viseur optique ! Mais comme en réalité je n'utilise plus du tout le viseur optique depuis que j'ai cet appareil, cela ne me gêne pas :-) Plus gênant : pour les photos rapprochées (moins d'un mètre et surtout moins de 50cm, l'autofocus perd les pédales (il faut l'aider à trouver la mise au point) et le flash intégré est trop puissant (mais il est réglable). Dommage, chez Canon aussi il faut acheter un flash externe de la marque pour avoir une compatibilité totale (mais ils sont beaucoup moins chers que les kits Nikon). Enfin, le mode automatique de la balance des blancs ne fonctionne pas toujours très bien à l'intérieur (mais le réglage manuel est accessible par un bouton direct).

Bon, vous l'avez compris : je ne regrette pas du tout mon achat, même si maintenant on peut le trouver au tiers du prix ;-)

Accessoires achetés : outre le flash externe (420EX, génial), une deuxième batterie (kit Hahnel avec mini chargeur), un sac (Samsonite Trekking), une carte CF 256Mo et le XSDrive (voir plus bas), j'ai trouvé un magasin en ligne qui est spécialisé dans les accessoires optiques : www.2filters.com. Je me suis donc offert pour une petite centaine d'euros TTC : un tube allonge Kenko, un pare-soleil multi-angles, un filtre UV et un polarisant (tous deux en Hoya HMC Super), avec capuchon et kit de nettoyage.

Le tube Kenko se fixe sur la baïonnette du boîtier et entoure l'objectif et tout le mécanisme du zoom d'un cocon protecteur. Il se termine par un filetage de 52mm qui accueille filtres et compléments optiques et j'y laisse bien sûr le filtre UV en permanence. Contrairement aux tubes 58mm, le Kenko ne bloque pas le faisceau AF et ne bouche pas beaucoup le champ du flash et du viseur. Autre avantage : il améliore encore la très bonne prise en main du G3 :-) Défaut : mon sac est devenu légèrement trop petit ;-(

L'accessoire qui sauve :

X's-Drive

Acheté neuf +/- 200 euros fin 2002.

Alimentation : batterie interne.

Unité de stockage externe avec disque dur intégré, batterie et lecteur de cartes mémoire "6 en 1".

Le problème insoluble du numérique avait toujours été l'autonomie, non pas en terme d'alimentation électrique mais bien de film : avec un argentique, on prend des films avec soi et on peut en racheter presque partout.

Mais le numérique emploie des cartes réutilisables qui coûtent assez cher : si l'on prend beaucoup de photos loin de la maison, surtout en haute résolution, il faut soit avoir beaucoup de cartes (cher), soit avoir un ordinateur portable avec soi (cher, risqué et encombrant), soit avoir un bon accès à Internet pour envoyer les photos sur un serveur de confiance (cher, parfois impossible à trouver et ça prend du temps).

Heureusement, plusieurs fabricants ont créé pour nous les unités de stockage portables, aussi appelées "porte-pixels". J'ai choisi celle de Vosonic, le XS Drive, car elle est multi-fonctions, bon marché et sans gadgets dont je n'ai pas besoin (lecteur MP3, écran de visualisation des photos...)

Qualités selon moi : lecteur de cartes 6 en 1, on peut lire toutes les cartes mémoire ou presque ("Tu me passes tes photos ? Hop !") ; batterie intégrée, on peut l'utiliser partout ; disque dur intégré, on peut donc y décharger les photos prises et libérer la carte-mémoire pour prendre plus de photos ; connexion USB 1.1, on peut donc s'en servir aussi comme disque dur externe compatible avec à peu près tous les ordinateurs du marché (je m'en sers aussi pour transférer mes fichiers d'un ordi à l'autre) ; moins cher qu'une carte 512Mo alors qu'il peut accueillir des disques de 20, 30, 40 Go...

Défauts selon moi : le bouton de mise en marche est protubérant, càd que même dans son sac de transport, une pression suffit à le mettre en marche (dès lors, la batterie se vide, mais il y a aussi et surtout un risque d'abîmer le disque dur avec les chocs) ; j'ai résolu ce problème avec un petit bricolage maison : une capsule de bouteille en plastique que j'ai réduite au tiers de sa hauteur avec un cutter et que j'ai scotchée par dessus le bouton. Mais aussi : les instructions peu claires (voire fausses) du fabricant pour installer soi même un disque dur dans l'unité.

Car en effet, c'est un autre de ses grands avantages : on peut acheter ce lecteur sans disque dur (c'est bien moins cher) et y placer un disque dur dont on n'a plus l'usage (obligatoirement un HDD de 2.5 pouces, 9.5mm d'épaisseur), mais je me suis longtemps cassé la tête pour le configurer (formatage) convenablement...

MAJ (2005) : mon X-Drive est de plus en plus capricieux, parfois il ne s'allume plus (j'ai trouvé le truc : l'ouvrir, déconnecter la batterie 10 secondes...et voilà !) mais aussi il refuse de plus en plus souvent de copier les cartes (début de copie puis "erreur") : si on n'a pas de PC sous la main c'est gênant... Car c'est son utilité ! Heureusement, le prix des cartes mémoire a fortement diminué (quand je pense à la carte de 20Mo que j'avais payée plus de 100 euros en 1998, contre 70 euros en 2005 pour une carte d'un giga !)



Le périphérique de transfert argentique / numérique :

Nikon Coolscan V (LS-50 ED)

Acheté neuf +/- 650 euros TTC en juillet 2004, revendu en janvier 2005 après avoir tout scanné.

Résolution : 4000ppp. Numérisation des diapositives une par une et des négatifs par bande de deux à six vues (négatifs isolés et abîmés avec le porte-film optionnel FH-3).

Traitement des défauts (rayures, poussières, couleurs passées...) avec Digital Ice 4.

Ce Cool scan fut mon premier achat sur Ebay, et je ne le regrette pas. Non seulement je l'ai eu bien moins cher que dans le commerce mais en plus, le kit comprend l'indispensable porte-film FH-3 (cher, quand il est disponible). NB : n'oubliez pas la TVA de 20% et le coût du transport (depuis les USA), inclus dans le prix que je mentionne mais pas sur Ebay !

Avec ce scanner à films et un peu (beaucoup) de temps libre, je peux enfin transférer tous mes négatifs et diapos de façon valable sur support numérique. Par rapport à mes premiers (nombreux) essais avec un scanner à plat pourtant prévu pour cette tâche, le résultat est cette fois très bon, même avec des films vieux ou endommagés.

Les images sortantes seraient même directement imprimables, mais je les stocke sur DVD pour avoir tout de même l'occasion de les retravailler sous Paint Shop Pro. La numérisation en elle-même prend tout de même du temps : en résolution maximale avec correction par Digital Ice, il faut compter en moyenne deux heures par film (+/- 30 photos) ; deux heures pendant lesquelles on ne doit cependant pas rester à côté du PC : grâce au traitement par lots, il "suffit" d'être là toutes les dix à quinze minutes environ. Pour les dias c'est plus long, car il faut les traiter une par une. Il y a donc encore une certaine quantité de boulot, mais cette fois la qualité est au rendez-vous : quel soulagement quand c'est fait :-)



9. Mon quatrième appareil numérique :

Canon G6

Acheté neuf +/- 550 euros en mars 2005.

Objectif : zoom 4X (35-140mm, f2.0), autofocus.

Flash : intégré et externe (j'ai gardé mon Canon 420EX)

Réglages : différents programmes, modes auto et manuels...

Film : CCD 7 millions de pixels ; cartes Compact Flash (j'ai acheté une carte CF 1Go en 2005 pour environ 70 euros).

Alimentation : batterie BP511 ou 512.

Après avoir été aussi satisfait du Canon G3 mais juste avant de nouvelles occasions de photos superbes, le moment était venu d'acheter... Son "petit" frère :-) Les différents tests et comparatifs lus confirmèrent ce choix, et LDLC faisait justement une promo... 620 euros pour le G6 avec une garantie de deux ans et une carte d'un gigaoctets, paiement en trois fois sans frais : c'était imbattable, d'autant plus que j'avais une belle occasion de revendre le G3.

Un mois plus tard, le G6 a déjà plus de mille photos au compteur et un utilisateur heureux.

Qualités selon moi : toutes celles du G3 en mieux : qualité d'image encore meilleure, encore plus rapide, bien meilleur flash interne, écran orientable plus grand, viseur optique non bouché. Il est plus petit mais tient aussi bien (voire mieux) en mains grâce à une poignée améliorée. Plusieurs autres petits détails ont également été revus, comme les portes d'accès (connecteurs, carte mémoire...)

Défauts selon moi : Il n'en reste quasiment aucun ;-) Allez, ils auraient pu faire un effort pour le mode vidéo, limité à 30 secondes en 640x480 : un peu rikiki par rapport aux possibilités actuelles, alors que ce serait utile pour agrémenter les souvenirs.

Accessoires achetés : (j'ai gardé du G3 le sac, le flash, une batterie, les filtres et le pare-soleil) Canon (grr...) a changé la baillonnette, donc le tube allonge du G3 ne convient pas au G6. J'ai acheté sur Ebay un kit tube-allonge adaptateur G6 + convertisseur grand-angle (0.5x) + convertisseur macro + convertisseur téléobjectif (2x) pour une trentaine d'euros TTC.

Après les premiers tests, la qualité des convertisseurs ne me semble pas extraordinaire, mais comme je les ai payés à peine plus chers que le tube seul... :-D Car c'est surtout le tube qui m'intéressait, après expérience sur le G3 : équipé d'un filtre UV, il protège bien l'objectif (chocs, humidité, poussière, doigts...) et offre une meilleure prise en main de l'appareil, sans oublier qu'il permet d'utiliser filtres et convertisseurs à volonté. Et comme le G6 est plus petit, mon bô sac est redevenu assez grand :-)

J'ai aussi acheté sur E-bay des petits "films" transparents 3M (5 euros pour 6 paires) très pratiques : ils se posent et adhèrent sans colle sur les deux écrans pour les protéger (rayures, doigts...) et j'ai pu en constater la redoutable efficacité dès le début (pendant une dizaine de jours j'ai utilisé le G6 dans des conditions assez extrêmes et il est passé entre des dizaines de mains, y compris d'enfants : aucun souci !)



Quelques autres sites sur les appareils photo numériques :

Le site Megapixel, avec des tests d'apn, des articles, un forum très actif, etc.

Page créée le 9 février 2003 -  Mise à jour le 6 mai 2006
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